Bienfaits des compléments alimentaires

Les piliers de la santé sont : une alimentation saine, une activité physique régulière et un sommeil de qualité.

Une alimentation saine

  • Les aliments ingérés par les humains sont sources de bienfaits et apportent :
  • Des macronutriments (protéines, glucides, lipides) qui fournissent les calories et donc l’énergie.
  • Des micronutriments (vitamines, oligo-éléments etc.).

 

Ces micronutriments sont indispensables à la bonne assimilation, à la bonne transformation et à la bonne utilisation des macronutriments.
Or, les micronutriments ne peuvent pas être fabriqués par l’organisme et doivent impérativement être apportés par une alimentation saine, variée et équilibrée.

Une bonne couverture des besoins en micronutriments contribue à la préservation de la santé et à la prévention de multiples maladies chroniques.
Ceci est particulièrement le cas des besoins vitaminiques, puisque l’organisme ne peut pas synthétiser lui-même les vitamines : elles doivent être apportées par l’alimentation.

 

 

Les vitamines, c’est la vie !

 

Il existe officiellement 13 vitamines, généralement classées selon leur solubilité dans l’eau ou les graisses :

  • 9 vitamines hydrosolubles (8 vitamines du groupe B : B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, B12 et la vitamine C), solubles dans l’eau et non stockées dans l’organisme, devant être renouvelées en permanence,
  • 4 vitamines liposolubles (A, D, E et K), stockées dans les réserves graisseuses de l’organisme.

L’organisme a ainsi besoin chaque jour de nutriments en petites quantités pour fonctionner normalement.
Les vitamines sont notamment impliquées dans la quasi-totalité des fonctions biologiques et interviennent aux niveaux cellulaires, tissulaires et organiques.

 

 

Structure de la vitamine C (acide L-ascorbique), une des vitamines les plus connues.

D’autres éléments sont vitaux, notamment les acides gras essentiels ou indispensables (anciennement désignés en tant que vitamine F), qui ne peuvent être apportés que par l’alimentation. Il s’agit notamment des acides gras des séries Oméga 3 et Oméga 6, qui sont très importants pour l’organisme car ce sont des constituants des membranes cellulaires.

Cinq fruits et légumes par jour : un conseil nutritionnel de bon sens.

Les autorités de santé recommandent de consommer cinq fruits et légumes par jour, en se basant sur la richesse en vitamines des produits d’origine végétale.

En effet, 12 vitamines sont présentes dans ces aliments (la vitamine B12 est absente et ne se retrouve que dans les produits d’origine animale, une supplémentation de cette vitamine est donc souhaitable pour les végétaliens et végans), avec des teneurs fluctuantes selon le fruit ou le légume consommé.
Une alimentation variée de tels produits végétaux peut permettre de couvrir l’essentiel des besoins quotidiens en vitamines.

Certaines vitamines sont cependant fragiles, notamment la célèbre vitamine C.
Ainsi, une pomme laissée à l’air libre pendant une semaine perd 75 % de sa vitamine C au simple contact de la température ambiante et de la lumière.
Une recommandation de base est de manger des produits frais, diversifiés et si possible locaux.

Les quantités de vitamines suffisantes diffèrent en outre selon l’âge, le sexe et l’état de santé. Pour chaque vitamine, les apports quotidiens considérés comme suffisants ont été déterminés par les autorités de santé publique (notions d’apports journaliers recommandés AJR, d’apports nutritionnels conseillés ANC, de besoins nutritionnels moyens BNM, de valeur nutritionnelle de référence VNR, d’apport satisfaisant AS et enfin de limite supérieure de sécurité LSS).

De multiples minéraux sont en outre bénéfiques à l’organisme (avec des dosages adaptés), notamment le calcium, le chlore, le chrome, le cuivre, le fer, le fluor, le magnésium, le manganèse, le phosphore, le potatium, le sélénium, le sodium et le zinc.

Tous ces macro et micronutriments sont vitaux pour le bien-être de nos cellules et le fonctionnement de nos organismes.

 

Cas d’insuffisances ou carences

Les insuffisances en vitamines, sels minéraux ou oligoéléments sont malheureusement une réalité, y compris dans les pays industrialisés.

Ces insuffisances prennent deux formes : les déficits et les carences, qui affectent le fonctionnement des cellules de notre organisme.

  • Les déficits sont un manque d’un ou plusieurs nutriments, source de troubles, mais sans maladie carentielle.
  • Les carences sont des apports nettement insuffisants en nutriments, entraînant le développement de véritables pathologies.
 

Le déficit peut malheureusement passer inaperçu pendant une longue durée. La carence, elle, génère souvent des symptômes visibles, avec des conséquences pathologiques parfois lourdes.

Certaines carences historiques sont bien connues du grand public : le scorbut en cas de carence en vitamine C, le rachitisme en cas de carence en vitamine D chez l’enfant, la carence en vitamine A entraînant des troubles et affections oculaires jusqu’à la cécité.

Or, de multiples maladies ou pathologies (goutte, gale, syphilis, scorbut) que l’on croyait disparues refont parler d’elles et augmentent dans les pays développés.

Ainsi, les insuffisances en vitamines, sels minéraux ou oligoéléments ne sont pas des images du passé, elles demeurent encore aujourd’hui un enjeu de santé publique important compte tenu de l’impact sanitaire de certaines maladies carentielles.

Ces alertes sur les insuffisances en micronutriments (et notamment en vitamines) ne touchent pas que les pays en voie de développement. Certaines populations des pays industrialisés sont touchées par une insuffisance d’apports en micronutriments, avec les effets sanitaires en résultant.

 

L’ANSES (agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) relève qu’en France les déficits et carences concernent notamment les apports en vitamine D.
Elle relève en outre que « des carences en nutriments peuvent toucher davantage des groupes particuliers de la population ayant des besoins accrus ou des déficits d’apport. »

L’absence d’insuffisance en micronutriments à grande échelle en France a été relevé par l’étude ESTEBAN (étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition, disponible sur www.santepubliquefrance.fr), mais en mettant ici aussi en avant de nombreux points de vigilance, avec des déficits possibles :

  • en vitamine B9 et B12,
  • en vitamine C,
  • en vitamine D pour 25 % des adultes et 30 % des enfants.
La directive européenne 2002/46/CE allait elle-même déjà dans ce sens : « Un régime alimentaire adapté et varié pourrait, dans des circonstances normales, apporter à un être humain tous les nutriments nécessaires à son bon développement et à son maintien dans un bon état de santé, et ce, dans des quantités correspondant à celles qui sont établies et recommandées à la lumière des données scientifiques généralement admises. Des enquêtes montrent cependant que cette situation idéale n’est pas une réalité pour tous les nutriments, ni pour tous les groupes de population dans la Communauté. » Or, dans les pays occidentaux, l’alimentation est souvent très déséquilibrée. Quantité rime rarement avec qualité. Ainsi, l’obésité provient d’une malnutrition hypercalorique : certains patients/consommateurs mangent beaucoup, mais mal et peuvent souffrir de différentes insuffisances ou carences.

Les insuffisances ou carences d’apports sont multiples et ne touchent pas que les vitamines : minéraux, oligoéléments, antioxydants, acides gras essentiels ou acides aminés essentiels sont également visés.

Plus de 70 % de la population française manque ainsi de magnésium selon l’étude INCA 2.

Un déficit en magnésium peut entraîner de la fatigue, des troubles du sommeil, des crampes, des vertiges ou encore de l’anxiété.

Si un mode de vie équilibré et une alimentation saine devraient suffire dans les pays développés, ce n’est dorénavant plus le cas, notamment du fait de la baisse de quantité de nutriments dans les fruits et légumes, qui souffrent de l’excès de pesticides et conservateurs.

Même des personnes ayant un mode de vie sains sont désormais concernées par des insuffisances ou carences en micronutriments.

Ces pertes vitamino-minérales entrainent de fréquentes carences nutritionnelles qui, sur la durée, impactent le fonctionnement de nos cellules et peuvent entrainer de multiples troubles pathologiques.

De multiples comportements, mauvaises habitudes quotidiennes ou facteurs extérieurs ont été mis en avant par les études spécialisées comme sources de pertes de nutriments 

Consommation insuffisante de fruits et légumes frais
Forte baisse de la quantité de nutriments dans les fruits et légumes depuis 30 ans, du fait de la présence de pesticides et conservateurs.
Alimentation déséquilibrée par manque de temps.
Consommation excessive d’aliments industriels ultra-transformés à faible valeur nutritive (« junk-food », « malbouffe »).
Consommation de jus de fruits en bouteille (ayant perdus la capacité antioxydante permettant d’éliminer les radicaux libres, contrairement aux fruits frais qui sont bénéfiques).
Sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité.
Consommation de café, d’alcool, de tabac (ou respiration de la fumée des autres personnes, « fumée secondaire ») ou de drogues.
Consommation de certains fruits ou jus spécifiques (le pamplemousse a de multiples interactions, parfois néfastes, avec le métabolisme de certains composés chimiques ou médicaments).
Alimentation très salée ou trop sucrée.
Consommation d’eau du robinet, d’eau chlorée ou fréquentation d’une piscine.

Syndrome de Stress (Syndrome Général d’Adaptation selon le médecin québécois Hans SELYE), sentiment de déprime, irritabilité. L’organisme réagit à un excès d’agressions (physiques ou sensorielles générées par notre environnement et notre vie familiale ou professionnelle) par des manifestations pathologiques.
Cet excès de stress aboutit à un épuisement de l’organisme (surconsommation métabolique), créant progressivement de multiples symptômes (troubles digestifs, prise de poids, troubles cardiovasculaires, troubles cutanés, cholestérol, faiblesse immunitaire, fatigue, risque de dépression etc.).

Pratiques culinaires spécifiques (les aliments bouillis sont à éviter car la cuisson dans de l’eau à plus de 90°C détruit les nutriments des aliments : vitamines, oligoéléments, enzymes, contrairement à la cuisson à la vapeur douce, qui préserve la plupart des nutriments).
Terrain génétique différent selon les individus (hérédité).

Certains modes de vie sont en outre clairement à risques, l’ANSES relevant notamment que  « le régime végétalien est totalement dépourvu de vitamine B12, présente uniquement dans les denrées d’origine animale ». De même, un régime alimentaire écartant la consommation de poissons et de fruits de mer ne permettra pas de couvrir les besoins en EPA et DHA (acides gras polyinsaturés à longue chaîne).
Plus généralement, un régime insuffisamment varié expose à un risque de couverture insuffisante des besoins nutritionnels. Dans ces cas particuliers, le recours aux compléments alimentaires peut présenter un intérêt. 

C’est également le cas de la vitamine A, qui se trouve dans des aliments d’origine végétale et animale. Le foie (le foie de bœuf ou de poulet ou l’huile de foie de morue) ainsi que les produits laitiers possèdent de fortes teneurs en vitamines A. Il en va de même pour certains légumes, comme l’oseille, la carotte, les épinards, ou encore la patate douce.
Or, certains régimes, comme le régime végétarien ou végan, peuvent être carencés en apports de vitamine A, source notamment de troubles de la vue.

Ces insuffisances ou carences sont parfois simplement isolées (apports insuffisants pour une seule vitamine par exemple), mais parfois associées (touchant par exemple plusieurs vitamines et/ou sels minéraux).

Quelles qu’en soient les sources (carences ou insuffisances d’apports, pollution cellulaire, mode de vie stressant hyperconsommateur en nutriments), les altérations du métabolisme cellulaire qui en résultent génèrent des déséquilibres.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime ainsi que 23 % des décès et 25 % des pathologies chroniques dans le monde peuvent être attribués à des facteurs environnementaux et comportementaux.

Du fait de ces constats, il est alors souhaitable d’adopter un mode de vie plus sain et le cas échéant mettre en place une « détox » et/ou une supplémentation en micronutriments, à l’aide de compléments alimentaires. 

 

La "détox"

Avant toute modification comportementale ou prise de complément alimentaire, il est recommandé de consulter un praticien médical diplômé et formé, afin d’établir un diagnostic fiable et des recommandations personnalisées.

Outre l’assainissement du mode de vie, la plupart des praticiens et auteurs fonctionnent sur un traitement en deux temps : une « détox » de l’organisme, puis une supplémentation.

La « détox » est entrée dans les habitudes des patients/consommateurs (et de leurs praticiens), sans que sa définition exacte ne soit encore fixée.

Plus que l’abréviation d’un mot unique, le terme « détox » est la racine commune à plusieurs mots : « détoxication » (et son verbe « détoxiquer ») et « détoxification » (et son verbe « détoxifier »).

 

La « détoxication » se définit comme un processus par lequel l’organisme inactive les substances toxiques d’origine interne ou externe.

La « détoxification » se définit comme :
une opération physico-chimique ou métabolique par laquelle un produit perd sa toxicité, l’élimination des toxines par un organisme vivant.

Les toxines sont des substances présentes en excès dans le corps qui proviennent de l’alimentation ou de la pollution.

Le terme « détoxiner » est également utilisé.

Par ces termes, la plupart des praticiens désignent l’activité métabolique qui permet à l’organisme de transformer une substance toxique en un dérivé capable d’être ensuite éliminé par les matières fécales et les urines.
Cette activité est surtout réalisée par le foie (« détox » hépatique), ainsi que les cellules intestinales et rénales.

La plupart des molécules toxiques sont liposolubles. Lorsque les capacités du foie sont saturées, elles sont stockées dans les graisses.
L’objectif de la « détox » hépatique est de rendre soluble ces toxines, pour pouvoir ensuite les évacuer avec les organes d’élimination.

La « détox » consiste donc à limiter l’exposition aux substances toxiques et à aider le corps à les éliminer pour retrouver un terrain équilibré et se sentir mieux.

En pratique, la plupart des praticiens présentent la « détox » comme une série d’actions coordonnées :

  • Recherche d’un mode de vie plus sain, avec une alimentation équilibrée et une bonne hydratation.
  • Réduction/suppression des substances indésirables (alcool, tabac…).
  • Activité physique suffisante, si possible en plein air pour oxygéner le sang.

 

Une supplémentation peut aider cette « détox » en matière de digestion et de bien-être du foie, via des compléments alimentaires à base de plantes : artichaud, radis noir, chardon-marie, pissenlit.

Certains praticiens recommandent une cure de « détox » deux fois par an (souvent au printemps et en automne).

En effet, pour qu’une cellule assimile efficacement un nutriment, il est souhaitable qu’elle ait été au préalable été nettoyée de ses polluants.

Une fois le terrain cellulaire assaini, il est possible de compenser les insuffisances ou carences avec des compléments alimentaires adaptés.

L’objectif est de procurer à l’organisme des matériaux pour pallier ces insuffisances ou carences. Nous allons voir dans la partie suivante que la Science travaille depuis longtemps sur ces questions et apporte les réponses appropriées.

 

Les nutriments : de la Science aux compléments alimentaires

Il est ensuite possible de mettre en place une supplémentation, avec la prise de compléments alimentaires adaptés.

Des faits / des effets : l’identification et la synthèse des nutriments et vitamines par les scientifiques et prix Nobel.

Depuis un siècle, les recherches sur les nutriments, et plus particulièrement les vitamines, ont récompensé les scientifiques par une dizaine de prix Nobel.

Ainsi, Christiaan Eijkman et Frederick Gowland Hopkins obtiennent le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1929 pour leurs travaux sur les vitamines. Puis en 1937, deux prix Nobel sont décernés (Albert Szent-Gyorgyi, prix Nobel de physiologie ou médecine et Walter Norman Haworth, co-prix Nobel de chimie) au titre de travaux sur la vitamine C permettant de créer la première vitamine de synthèse ou artificielle.

On estime que 2 millions de marins sont morts du scorbut et que la découverte de la consommation d’agrumes (citrons, oranges) au XVIIIème siècle, puis l’identification et la synthèse artificielle de la vitamine C en 1937 a depuis permis de sauver des millions de vies.

D’innombrables scientifiques ont ensuite identifié et synthétisé ces vitamines, travaux récompensés de multiples prix Nobel (Paul Karrer, co-prix Nobel de chimie en 1937, Richard Kuhn, prix Nobel de chimie 1938, Linus Pauling prix Nobel de chimie en 1954, Alexander Robert Todd prix Nobel de chimie en 1957, Dorothy Crowfoot Hodgkin prix Nobel de chimie en 1964, Robert Burns Woodward prix Nobel de chimie en 1965).

Ces travaux in vivo et in vitro ont contribué à l’essor des compléments alimentaires tels que nous les connaissons aujourd’hui et qui permettent de résoudre simplement les insuffisances ou carences.

 

De nos jours, on entend par compléments alimentaires, « les denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d’autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés, commercialisés sous forme de doses, à savoir les formes de présentation telles que les gélules, les pastilles, les comprimés, les pilules et autres formes similaires, ainsi que les sachets de poudre, les ampoules de liquide, les flacons munis d’un compte-gouttes et les autres formes analogues de préparations liquides ou en poudre destinées à être prises en unités mesurées de faible quantité »

(article 2 de la Directive 2002/46/CE du Parlement européen, transposée en France par le  décret n°2006-352 du 20 mars 2006).

Les compléments alimentaires ne sont cependant pas des médicaments et ne peuvent donc pas revendiquer d’effet thérapeutique (y compris pour les vitamines, minéraux et oligo-éléments).

Un « complément alimentaire » est en fait un produit alimentaire « concentré » (dose importante d’agents actifs par rapport au poids/volume de la galénique).

La notion de compléments alimentaires recoupe celle de « nutraceutique », terme combinant « nutriment » et « pharmaceutique ».

Ce mot désigne un produit alimentaire contenant des actifs, tels que des vitamines, minéraux, acides gras, probiotiques, extraits de plantes, antioxydants ou autres substances bioactives. Les nutraceutiques sont utilisés pour améliorer la santé et prévenir les maladies chroniques.

Les allégations nutritionnelles et de santé, susceptibles d’être indiquées sur les produits, sont ainsi encadrées par la réglementation européenne, avec un certain nombre d’allégations santé autorisées.

La majorité des compléments alimentaires sont composés d’ingrédients source de vitamines, minéraux et oligo-éléments (micronutrition), de plantes (phytothérapie) ou d’autres substances.

 

 

De nos jours, les formes galéniques sont multiples et adaptées au besoin de chacun.

Les compléments alimentaires sont donc disponibles sous forme de doses telles que les gélules, comprimés, capsules, pastilles, pilules, gommes (« gummies »), sachets de poudre ou encore en préparations liquides (ampoules, flacons munis de compte-gouttes).

En conclusion, savoir c’est pouvoir !

La connaissance étant la meilleure protection de la santé, il est souhaitable d’adapter son mode de vie en conséquence.
Pour être bénéfique, la consommation de complémentaires doit donc être raisonnable et adaptée aux besoins de chacun pour procurer ses pleins effets de santé.

AGOSANTÉ® s’attache ainsi à mettre sur le marché des compléments de haute qualité afin de satisfaire le plus grand nombre de patients/consommateurs.